İstanbul escort bayan sivas escort samsun escort bayan sakarya escort Muğla escort Mersin escort Escort malatya Escort konya Kocaeli Escort Kayseri Escort izmir escort bayan hatay bayan escort antep Escort bayan eskişehir escort bayan erzurum escort bayan elazığ escort diyarbakır escort escort bayan Çanakkale Bursa Escort bayan Balıkesir escort aydın Escort Antalya Escort ankara bayan escort Adana Escort bayan

jeudi, novembre 21, 2024
Accueil ACTUALITE 1ère édition du ‘’Jazz vert’’ à Yène: AgSila et des partenaires en...

1ère édition du ‘’Jazz vert’’ à Yène: AgSila et des partenaires en phase pour un environnement meilleur

A l’occasion d’un programme inscrit sur la première édition du ‘’Jazz vert’’ organisée dans un environnement auquel, par rapport à sa vie d’avant de l’actrice-compositrice, AgSila et son mari, Hervé, Hervé BREUIL réalisateur- manager culturel Bureau Afrique des Arts et techniques (BAAT), y retrouvent les valeurs sénégalaises. «Encore à Yène, on a un tout petit peu de nature, d’humanité. C’est ce qui nous a motivés, mon mari et moi, à s’installer ici», a-t-elle laissé entendre au cours d’un entretien, en marge d’un festival sur culture et environnement en présence de Dr Gora Niang, directeur du Centre d’éducation et de formation environnementale (Cefe).

   «AgSila travaille aussi avec les artistes de Yène, particulièrement avec Makhtar Guèye ‘’Lébou-gui’’ qui œuvre dans le domaine de la protection de l’environnement et des ressources naturelles, qui déroule des activités de nettoiement, de sensibilisation, de reboisement, au niveau de la commune de Yène», a relevé Dr Gora Niang, directeur du Centre d’éducation et de formation environnementale (Cefe) du ministère de l’Environnement et du Développement durable. Ce sont ces artistes qui ont invité Dr Niang le samedi 07 mai 2022 qui effectué le déplacement en compagnie d’une importante délégation à prendre à leur programme culturel dénommé Jazz Vert.

AgSila, est née à Pikine. Après avoir effectué des études un peu poussées à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad), elle, de son vrai nom Daba Diop, se conforte d’être citoyenne du Sénégal. À l’âge de neuf (9) ans, sa famille a quitté Guédiawaye pour s’installer à Malika. «Mon père aimait la nature, cet environnement très campagnard. Moi, j’ai fait toute mon enfance vraiment heureuse à Malika… Ce que j’ai gardé de mon enfance, c’est que je marchais le long de tous les maraîchers. Il y avait les champs accolés et à perte de vue…Et ça m’est resté dans le cœur. Je voyais les gouttelettes de la rosée perlée. Il y a avait la nature pure. Il y avait encore des animaux qu’on n’avait jamais vus parce qu’on était très jeune. On a bénéficié de ce Malika- là, vert, doux, avec de l’eau douce, voilà et la mer à côté», a décrit AgSila, de son nom d’artiste.

Elle dit être élevée dans la musique. Son père était un grand mélomane, professeur de Mathématiques, d’anglais, et linguiste de formation. «Mon père faisait la traduction aussi. Il avait appris l’hébreu, le grec antique et puis l’arabe. On a été élevé dans une famille qui était vraiment très ouverte pour la culture et on n’avait pas le droit d’écouter autre musique que reggae ou classique. On se moquait de nous en nous disant ; «chez vous on entend Ting!, on attend dix (10) minutes pour entendre Ting !, encore»; tellement la musique était douce, a relevé AgSila.

C’est ce qui l’a beaucoup inspiré, et elle a choisi l’Afro-jazz. Elle a arrêté ses études en 2010 et a commencé à faire des études de voix, un peu de guitare aussi; parce qu’elle avait commencé à travailler. D’ailleurs, elle a commencé à composer en 2009 avec un groupe formé par son père, Mamadou Diop (décédé le 10 août 2021), avec trois sœurs. L’artiste dira que son père a vraiment contribué à façonner sa vie d’aujourd’hui.

Comme son mari, M. Hervé, est dans la culture depuis une trentaine d’années, et AgSila a baigné que dans çà, ils se sont engagés à contribuer pour cadre de vie meilleur et une société conviviale; parce que n’étant pas du genre «à venir habiter dans un village et s’enfermer». Arrivés à Yène vers 2015, ils ont fait, en 2017, la Biennale qui s’appelait ‘’In détrutus’’; parce qu’on a trouvé que pour un village de pêcheurs c’est dommage d’avoir des ordures dans la mer.

  Après avoir réussi cette exposition avec deux artistes, un martiniquais et un sénégalais des beaux- arts, avec la compagnie Dialaw qu’ils ont trouvé dans la localité, ils ont essayé de mixer. AgSlia et Hervé ont trouvé qu’il y avait du boulot à faire. C’est ainsi qu’ils ont découvert Matar Guèye qui chercher à créer son association ‘’Art Setal Sa Gokh’’.  «Celui-là était vraiment motivé à faire quelque chose pour son village. Il avait essayé des années avant et il n’y avait pas cette aide. On s’est dit qu’on n’a pas assez d’argent mais on a nos compétences. Mon mari s’occupe de tout ce qui est communication et moi il m’a donné la commission culture», souligne-t-elle.

Ainsi, AgSila et son mari ont décidé à travailler pour le village de Yène où ils veulent faire leur vie. En phase avec la population, ils se sont engagés à accompagner Matar. AgSila affirme avoir connu ‘’Jam jazz’’ depuis longtemps. «On a eu à collaborer plusieurs fois et, en voyant tout ce qu’on fait par rapport à Yène, ils nous ont proposé de créer un événement sur le ‘’Vert’’. Dans cette localité, il se passe beaucoup de choses. On a marché ‘’bio’’ avec des gens vraiment engagés sur une lutte farouche pour l’environnement. On s’est dit là c’est un milieu qu’on est capable de travailler». AgSila et Hervé sont disposés à accompagner les personnes engagées pour leur environnement et qui proposent des programmes pour le village.

 

RELATED ARTICLES

6ème Congrès panafricain de chimie; un levier pour le développement durable des pays africains

Par Ch. Seck NDONG L’édition 2024 du Congrès panafricain de chimie est ouverte, ce mardi, à Dakar. La cérémonie officielle a été présidée par Pr...

Djimo Souaré- Takku Wallu de Goudiry: Un quatrième mandat sous le signe de l’unité et de la gratitude

DJIMO SOUARE TÊTE DE LISTE DÉPARTEMENTALE TAKKU WALLU DE GOUDIRY Un Boundou fort et un Sénégal prospère ce sont les mots du patron du conseil...

Biennale de l’art africain contemporain Dakar’2024: La tunisienne Ikram Ben Brahim éveille la pratique visuelle par l’art à Fatick

Fatick: En marge de la biennale de l'art africain contemporain, la tunisienne, Ikram Ben Brahim a établi ses quartiers à Fatick. Elle a choisi...

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

- Advertisment -

Most Popular

6ème Congrès panafricain de chimie; un levier pour le développement durable des pays africains

Par Ch. Seck NDONG L’édition 2024 du Congrès panafricain de chimie est ouverte, ce mardi, à Dakar. La cérémonie officielle a été présidée par Pr...

Djimo Souaré- Takku Wallu de Goudiry: Un quatrième mandat sous le signe de l’unité et de la gratitude

DJIMO SOUARE TÊTE DE LISTE DÉPARTEMENTALE TAKKU WALLU DE GOUDIRY Un Boundou fort et un Sénégal prospère ce sont les mots du patron du conseil...

Biennale de l’art africain contemporain Dakar’2024: La tunisienne Ikram Ben Brahim éveille la pratique visuelle par l’art à Fatick

Fatick: En marge de la biennale de l'art africain contemporain, la tunisienne, Ikram Ben Brahim a établi ses quartiers à Fatick. Elle a choisi...

Ikram Ben Brahim: « Fatick, une ville entre tradition et modernité »

Dans ses heures perdues, Ikram Ben Brahim a pu visiter la ville de Fatick. "A deux reprises oui. D'abord en 2022 lors de mon...

Recent Comments

serdivan escort adapazarı escort odunpazarı escort

escort eskişehir escort sakarya escort sakarya bayan escort eskişehir bayan