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Le leader de Pastef accusé de viol : cabale ou dérive pulsionnelle ?

Par El Amine THIOUNE

Un « fait divers ou un divers fait » inattendu captive les attentions dans l’univers médiatico- socio- politique. Il s’agit de cette affaire qui défraie la chronique et qui éclabousse le leader de Pastef Ousmane Sonko. Le plus farouche opposant sénégalais déclaré du régime du président Macky Sall est accusé de viol et de menace de mort par  une nommée A. Sarr. Tout se serait passé rapporte cette dernière lors des séances de massage  dans un salon de la place que le leader de Pastef avait l’habitude de fréquenter. D’après la déposition de sa plainte à la gendarmerie, A.Sarr âgée de vingt ans, révèle qu’après chaque séance de massage qu’elle prodiguait au leader politique, ce dernier ne manquait pas de l’obliger à satisfaire ses pulsions libidinales avec elle.

Une enquête des forces de l’ordre et de sécurité a été ainsi déclenchée pour le rétablissement de la vérité des faits. La propriétaire du salon  qui a été ainsi cuisinée a affirmé que le leader de Pastef avait l’habitude de fréquenter les lieux pour des séances de massage.  Ce dernier aurait aussi fait savoir qu’il n’a pas encore reçu de notification sur cette plainte et ces accusations.

Moult interrogations ont été ainsi soulevées de partout. Les accusations contre le leader de Pastef sont- elles fondées ? S’agit-il d’une cabale montée de toutes pièces et par qui? Ou comme tout homme mû, à-t-il succombé à ses pulsions ? Dans tous les cas, pour d’aucuns, le leader de Pastéf a semblé manquer de vigilance et de présence d’esprit. Il est affirmé au niveau de certaines chaumières qu’en tant qu’homme public, il devrait se garder de s’afficher dans des lieux comme les salons de massage  dont la plupart n’ont pas une bonne réputation. Se démettra-t- il du «chat noir» qui l’a piqué, avec aussi d’autres informations récentes qui auraient mentionné qu’un laboratoire de la place aurait établi des violences sexuelles sur la jeune masseuse.  Dans tous les cas, la vérité des faits ne tardera pas à être établie, par les services d’ordre compétents réputés d’être de grands professionnels en la matière.

 

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