Ces dernières années, des facteurs internes et externes ont induit des soubresauts quasiment endémiques dans le système universitaire sénégalais : grèves d’étudiants, des enseignants, années invalides ou blanches, perturbations du calendrier scolaire, et morts d’hommes…. Des mutations ont mené à des réformes et décisions jugées indispensables à la survie du système : Concertation nationale, réformes des bourses, création de l’Anaq Sup, orientation des bacheliers dans le privé, etc. Pour quels effets ?
L’auteur donne un éclairage sur cette crise et exprime des opinions qu’il croit fondées sur une observation attentive du système éducatif de son pays. Acteur et observateur de ce système, il croit pouvoir sans polémique, susciter un débat constructif.